Depuis que le géant finlandais des télécoms Nokia a racheté le français Alcatel en 2016, les licenciements et délocalisations s’enchaînent : 400 suppressions de postes en 2016, 450 en 2017 et 408 cette année.
L’UD Cgt Essonne dénonce la situation à Nokia Paris-Saclay alors que l’entreprise se porte bien et que les actionnaires s’accaparent toujours plus de dividendes.
Avec la 5G qui arrive à grand pas, ces licenciements sont contradictoires avec les enjeux du moment.
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